Cultiver la gentillesse, c’est bon pour le moral !
Plusieurs études ont démontré que la gentillesse aide à rester en bonne santé, pourvu qu’elle soit spontanée et désintéressée. Mais comment cultiver ce comportement altruiste ?
1. Faire du bien, c’est se faire du bien !
« La gentillesse fait du bien sur le plan psychologique : rendre service aux autres fait qu’on se sent mieux dans sa peau, et ce bien-être pousse à l’empathie… C’est une spirale vertueuse. »
– Le psychologue Jacques Lecomte, auteur de La Bonté humaine
« Le pouvoir de la gentillesse, de nos bons sentiments ? On a tout à y gagner. »
– Franck Martin dans son ouvrage Le Pouvoir des gentils
2. Faire confiance
« Plus vous aurez confiance en vous, et plus vous serez capable de faire confiance aux autres. […] Cela n’empêche pas d’être prudent. Mais il y a une différence fondamentale entre le fait d’être prudent, c’est-à-dire vigilant, et celui d’être méfiant, c’est-à-dire soupçonneux. »
– Frank Martin
Faire confiance, c’est entrer en relation avec une personne sans préjugés, sans a priori négatifs.
3. S’adapter au ressenti de la personne
Cultiver la gentillesse, c’est faire preuve de prévenance pour saisir les besoins et les humeurs de l’autre, compatir avec lui ou l’encourager. La gentillesse est proche de l’empathie.
Mais être gentil, c’est potentiellement aussi se montrer ferme avec une personne si l’on est convaincu qu’elle fait fausse route !
S’affirmer sans nuire
« Être gentil ne signifie pas de se faire marcher sur les pieds sans rien dire. »
– Delphine Luginbul dans son ouvrage Trop bon, trop con ?
Être gentil, ce n’est pas dire « oui » à tout. Un gentil sait dire « non », mais il sait le dire avec le sourire !
En savoir plus
- Emmanuel Jaffelin, Petit Éloge de la gentillesse
- Jacques Lecomte, La Bonté humaine
- Thomas d’Ansembourg, Cessez d’être gentil, soyez vrai !
- Franck Martin, Le Pouvoir des gentils
- Delphine Luginbul, Trop bon, trop con ?